Le Dr Bach, (1886_1936)médecin perfectionniste a constamment chercher à améliorer la médecine et la mise au point de technique de guérison simple et efficace.

Dans son observation des malades, il constate que dans le traitement de la maladie, la personnalité du malade a bien plus d’importance que le corps physique. L’attitude du malade est aussi primordiale dans l’origine de sa maladie (stress, émotions, sentiments) que dans sa guérison (comportement).

Ses recherches le mène vers l’immunologie, il découvre ainsi la correspondance entre certains toxines de germes intestinaux et les maladies chroniques. Il met au point des vaccins qui se révèlent vite efficaces. Malgré ces résultats, il n’est toujours pas satisfait. Travaillant jour et nuit malgré une santé précaire, il tombe dans le coma en 1917 suite à une hémorragie. les médecins diagnostiquent un cancer et ne lui donne plus que quelques mois à vivre. Il se remet avec encore plus d’ardeur au travail et à la surprise générale, se rétablit peu à peu.

Cette « résurrection » lui permet de comprendre qu’un but précis dans la vie et l’amour déployé dans l’acte lui on permis de retrouver la santé.

Il découvre l’oeuvre d’Hahnemann à l’hôpital homéopathique de Londres, il est émerveillé de voir qu’avant lui, un chercheur était arrivé aux mêmes conclusions:

• La base de toute guérison véritable réside dans le traitement du malade et non de la maladie.
• Traiter le « mental » du malade.

Ces principes sont à la base de sa thérapie florale.

Il continue ses recherches sur la toxémie intestinale, met au point des vaccins homéopathiques (les 7 nos odes de Bach), administrés par voie buccale, encore d’usage de nos jours. Les années suivantes, il cherche des remèdes plus pur que les 7 nos odes bactériens, il espère les remplacer par des plantes mais aucunes solutions ne le satisfait. Lors d’un repas ennuyeux, il observe les convives et soudainement réalise qu’il peut les classer dans des groupes bien déterminés. Il comprend alors que face aux différentes formes de maladies, chaque membre d’un même groupe réagirait de la même façon. A partir de ce moment la, Edward Bach notera toutes les caractéristiques de ses malades et ce dans les moindres détails.

Il découvre ses premier Elixirs en 1930, dés lors, il commence à soigner ses patients avec ces trois remèdes et en fonction de leur caractère. Sur le point de découvrir une nouvelle médecine, il quitte son poste à l’hôpital ainsi que son cabinet de Londres pour le Pays de Galles ou il espère découvrir d’autre Elixirs. Très attaché à l’alchimie de la nature, il récolte la rosée des fleurs pour fabriquer ses remèdes et les tester sur lui-même. Il possède un don particulier  : son hypersensibilité. Elle lui permet de transformer son corps en véritable laboratoire vivant. Il est ainsi capable de ressentir et de percevoir dans les réactions de son corps toutes les propriétés curatives des plantes qu’il cherche. Sa démarche à toujours été guidée par l’Amour et la compassion. Il a offert sa richesse et sa santé pour se mettre au services des autres. Son combat de tous les jours à été de soulager les souffrances des malades, de leur permettre de s’auto-guérir facilement et non de s’investir dans un but lucratif…

Les années suivantes, il publie « Guéris-toi toi-même » et « les douze guérisseurs et les sept soutiens ». Il découvre les autres Elixirs, met au point le remède d’urgence, soigne gratuitement tous ses malades. De la même manière il ne tire aucun profit de la vente des Elixirs, afin que ceux-ci soient vendu le moins cher possible.

Jusqu’à la fin de sa vie, il se dépensera sans compter, formant des assistants et répandant sa méthode par des conférences et diverses publications.

Il laisse au monde une thérapie complète avec ses Elixirs floraux et sa philosophie plus que jamais d’actualité.

« Soigne la personne et non la maladie »

Dr Edward Bach